L'international pour fil conducteur

Dominique Lorentz s’est fait connaitre avec «Une guerre» (Les arènes, 1997), une enquête qui éclaire les enjeux nucléaires de la crise des otages français au Liban, à la fin des années quatre-vingt. Elle a ensuite publié «Affaires atomiques» (Les arènes, 2001), un ouvrage de référence sur l’Histoire de la prolifération nucléaire dans le monde, et «Secret atomique»* (Les arènes, 2002), sur le même thème.

En parallèle, elle a écrit «La République atomique» (coproduction Arte France, Artline Films, Les arènes, pour «Les mercredis de l’Histoire», Arte, 2001), un documentaire, adapté de ses livres, sur le phénomène de la prolifération nucléaire. Elle a également collaboré à un essai d’Alexandre Adler sur les relations entre les États-Unis et le monde arabo-musulman, «J’ai vu finir le monde ancien» (Grasset, 2002).

Dix ans après «Une guerre», Dominique Lorentz a raconté les coulisses de son aventure éditoriale dans «Des sujets interdits» (Les arènes, 2007), et contribué au manuel d’Histoire des Terminales édité par Nathan (2008) sous la direction de Jacques Marseille («Le monde, l’Europe, la France de 1945 à nos jours»*).

Elle a alors rejoint la revue XXI, cofondée par l’éditeur de ses livres et fondateur des éditions des Arènes, Laurent Beccaria. Pendant sept ans (2007-2014), soit du numéro zéro (pré-lancement du titre) au numéro 25 de la revue, elle en a dirigé et écrit les «pages actualité» -un décryptage de l’actualité internationale en une dizaine de rubriques.

Tous les livres de Dominique Lorentz reposent sur des recherches effectuées à la Bibliothèque nationale de France.

Une guerre (1997)
Affaires atomiques (2001)
La République atomique (2001)
Secret atomique* (2002)
Collaboration Alexandre Adler (2002)
Des sujets interdits (2007)
Contribution manuel Histoire*(2008)
Revue XXI (2007-2014)

(*) Le livre «Secret atomique» et la contribution au manuel d’Histoire «Le monde, l’Europe, la France de 1945 à nos jours» sont présentés sur la même page qu’«Affaires atomiques», dont ils sont des déclinaisons.